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Quand

01.02.2018 | 20H

la lumière collective
7080-506, rue Alexandra
Montréal [QC]

Média

HD
En présence du cinéaste.

Billets

7$ à la porte.

Présenté par

PROGRAMME

L’ENCRE DE CHINE
[Liban, 2016, 55 min, Numérique, VOSTA]

 Né à Dakar, le cinéaste, qui est aussi écrivain, a grandi et a vécu entre le Sénégal, la France et le Liban. Entre trois pays, entre deux langues. Entre la fiction et l’essai. Entre le cinéma et l’écriture. Toujours entre. Mais ici, ce n’est pas un choix, c’est une simultanéité. L’image et le texte. Le français et l’arabe (et l’anglais et l’allemand). Le cinéma de Ghassan Salhab est une affaire de couches, de transparences et d’opacités. […] En présentant cinq longs métrages de fiction et trois essais réalisés par le cinéaste entre 1998 et 2016, cette programmation place, pour la première fois, son travail de fiction et sa pratique d’essai filmique côte à côte. Dans ces deux modes d’écriture, des plans, des acteurs, des sons, des cadrages et des mots sont réitérés, montrant que chez Salhab la relation fiction/essai est une relation de tangence et qu’il s’agit pour lui de naviguer ces tangentes. […] »
– Nour Ouayda, Novembre 2017
En présence du cinéaste
—-

First complete North American retrospective of the franco-lebanese renowned filmmaker Ghassan Salhab, at the Cinémathèque Québécoise (27-31) and at la lumièere collective (1-2 february).

« Born in Dakar, the filmmaker, also a writer, grew up and lived between Senegal, France and Lebanon. In between three countries, in between two languages. Between fiction and essay. Between cinema and literature. Always in between. It is not a matter of choice, it’s a matter of simultaneity. Image and text. French and Arabic (and English and German). […]

This program presents his five feature films and three essays directed between 1998 and 2016, placing side by side and for the first time, his fictional and essayistic practice. Within these two modes of writing, shots, actors, sounds, frames and words are repeated, showing that for Salhab fiction and essay interact through a relationship of tangency and that his practice consists of navigating these tangents. […] »
– Nour Ouayda, November 2017